Le fait que la caméra se met toujours à distance sans véritablement pénétrer dans l'intimité et la psycho ou révéler des détails fait des spectateurs les témoins passifs devant cette chronique glaçante d'une famille disloquée. gros plan cherchent un effet de cloisonnement qui isole chaque personnage dans son monde respectif dépourvu de toute communication possible. Les mots restent superficiels, l'affection apparente.
A travers la variété des images exploitées (quelle nouveauté), Hanek parvient à saisir le zeitgeist de notre époque et mieux disséquer les états d'âmes de la haute bourgeoisie, la fois quiète et nerveuse, dans sa propre bulle illusoire.
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