write me to death the spatial science of violence

Mckenna 2022-01-25 08:05:51

L'espace de la violence:

l'analyse du structure de la narration du film

Sorti en 2005, est réalisé par David Cronenberg. Il raconte une histoire sur une précédent cachée: Tom Stall, un homme qui a une famille chaleureuse et gère un petit restaurant, s'est passé un vol un jour, pour sauver une collègue, il a tué deux assassins. Après, deux gangsters le trouvent, ont l'intention de dévoiler une pièce de passé brutale de son …

Comme le scène dans le préambule: un jeune meurtrier marche devant deux cadavres, et puis appuie la cloche sur la table pour leur demander un peu de l'eau, une caractéristique représentative de ce film se présente: une narration générique et une narration quotidienne existent en même temps.

Comment l'histoire entière se conduit sous cette stratégie de narration? Je vais énoncer en trois dimensions.

Les rêves et la place des autres

Minuit, le fils de Tom se réveille en sursaut, crie qu'elle a rêvé du freak. C'est le cauchemar où nous rencontrons la violence au début. Dans cette place (de rêve) totalement privée , la violence existe comme un être vient du monde d'inconscience où parallèle au réalité mais invisible .

Pourtant , le plan avant de le crier n'est pas le contenu du rêve, mais un spectacle de meurtrier qui se passe vraiment dans le cadre. invisible.

Un ego qui n'a jamais été aperçu, ou un affect lors de moi qui n'ai plus savoir ? Les deux peuvent être concernés par le même, grâce à la qualité inconnaissable.

La sphère de rencontrer est généralisée à une évènement personnelle de une condition universelle quand les deux espaces sont connectés . En même temps, une ambiguïté entre la vie familiale et une violence extrême se présente .

Famille

Le sujet des scènes de ménage est toujours la relation familiale. Ce film juste prendre la violence en les relations intimes pour observer l'évolution subtile d'une seule unité de violence.

Après que le père a tué les deux meurtriers, le fils est influencé de façon subliminale à frapper ses camarades de classe. La violence pénètre dans la maison depuis l'extérieur et s'extériorise psychologiquement dans cette arène. Tom veut enseigner son fils la violence n'est pas la méthode, mais il le frappe la seconde dernière. Le paradoxe de la violence s'explique clairement par l'action de personnage .

Quand Tom retourne chez lui , sa famille l' accepte , il pleure. A cet instant, la violence a été cachée au fond du cœur ,un cycle est terminé, la violence change un autre visage: la douleur.

Entre le passé et le present

Le contre entre le présent pour le passé est le conflit dramatique le plus principal , il est spécialisé dans la relation entre Tom et les gangsters.

La mafia est plutôt un croisement, dans lequel la violence prend la forme du simple mal. Mais la violence de Tom incarne une forme complexe de justice. Dans l'abstrait, cet ensemble de relations est une référence implicite à une situation. Tous les problèmes de violence évoluent vers un héritage de violence.

Ce cadre apporte un long espace de temps à l'histoire.Le film n'utilise aucune technique de flash-back, mais suture le passé dans le présent et mène à un mystérieux tunnel qui relie le passé au présent.

Un espace signifie une cote ici toujours correspond une cote là bas: moi et leur, l'intérieur et l'extérieur, le passé et le présent. En plus , se lier un action de . Dans la narration structurale en les dimensions différentes , nous donne un compass de marcher dans l'espace de la violence.

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A History of Violence quotes

  • [Richie talks to Joey about the business]

    Richie Cusack: What am I gonna do? You bust up a made man's place. You killed some of his guys. You take his eye. Jesus, Joey... you nearly took out his left eye. Barbed wire, wasn't it? That's disgusting. You always were the crazy one.

    Tom Stall: Not anymore.

    Richie Cusack: Yeah, I heard. You're living the American Dream. You really bought into it, didn't you? You've been this other guy, almost as long as you've been yourself. Hey, when you dream, are you still Joey?

    Tom Stall: Joey's been dead a long time.

    Richie Cusack: And yet here you sit... big as life. You know you cost me a lot of time and money. Before you pulled that shit with Fogarty, I was a shoe-in to take over when the boss croaked. A shoe-in. It was made very clear to me, Joey. I had to clean up your mess, or nothing was ever gonna happen for me! You got no idea how much shit I had to pull to get back in with those guys. You cost me! A hell of a lot, Joey. A hell of a lot!

    Tom Stall: Looks like you're doing all right over here.

    Richie Cusack: Yeah, I am, I am. I'm still behind the eight-ball... because of you. There's a certain lack of respect, a certain lack of trust. The boys in Boston are just waitin' for me to go down.

  • [Tom gets a phone call in the middle of the night]

    Tom Stall: Hello?

    Richie Cusack: [voice] Hey, Bro-heem. You're still pretty good with the killing. That's exciting.

    Tom Stall: Richie?

    Richie Cusack: [chuckles; voice] Yeah, it's Richie. What do you say, Joey? Are you going to come see me? Or do I have to come see you?